Qui est sorti avec Alfred de Musset?
Rachel Félix a daté Alfred de Musset du ? au ?. L'écart d'âge était de 10 ans, 2 mois et 17 jours.
Caroline Jaubert a daté Alfred de Musset du ? au ?. L'écart d'âge était de 7 ans, 6 mois et 5 jours.
Aimée d'Alton a daté Alfred de Musset du ? au ?. L'écart d'âge était de 0 ans, 9 mois et 9 jours.
Louise Rosalie Allan-Despreaux a daté Alfred de Musset du ? au ?. L'écart d'âge était de 0 ans, 9 mois et 21 jours.
Anaïs Bosio a daté Alfred de Musset du ? au ?. L'écart d'âge était de 2 ans, 3 mois et 16 jours.
Louise Colet a daté Alfred de Musset du ? au ?. L'écart d'âge était de 0 ans, 2 mois et 26 jours.
George Sand a daté Alfred de Musset du au . L'écart d'âge était de 6 ans, 5 mois et 10 jours.
Alfred de Musset

Alfred de Musset est un poète, dramaturge et écrivain français de la période romantique, né le à Paris, où il meurt le .
Il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie à 19 ans Contes d'Espagne et d'Italie, son premier recueil poétique. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché », marquée par sa liaison avec George Sand, tout en écrivant des pièces de théâtre : À quoi rêvent les jeunes filles en 1832, Les Caprices de Marianne en 1833, puis le drame romantique Lorenzaccio — son chef-d'œuvre —, Fantasio et On ne badine pas avec l'amour. Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis La Nuit d'août (1836), La Nuit d'octobre (1837) et un roman autobiographique, La Confession d'un enfant du siècle, en 1836.
Dépressif et alcoolique, il écrit de moins en moins après l'âge de 30 ans. On peut cependant relever les poèmes Tristesse, Une soirée perdue (1840), Souvenir en 1845 et diverses nouvelles (Histoire d'un merle blanc, 1842). Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852 au fauteuil 10. Il écrit des pièces de commande pour Napoléon III. Mort à 46 ans, il est enterré dans la discrétion au cimetière du Père-Lachaise.
Redécouvert au XXe siècle, notamment dans le cadre du TNP de Jean Vilar et Gérard Philipe, Alfred de Musset est désormais considéré comme un des plus grands écrivains romantiques français, dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche (Gamiani ou Deux nuits d'excès, 1833), une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse, qu'illustrent emblématiquement ses relations avec George Sand ou Pauline Garcia.
Lire la suite...Rachel Félix

Élisabeth-Rachel Félix, dite Élisa Félix ou Rachel ou Mlle Rachel, également Mademoiselle, est une actrice née le à Mumpf (Suisse) et morte le au Cannet. Grande tragédienne dont le jeu soulève une admiration sans borne en France comme à l'étranger, c'est un modèle pour Sarah Bernhardt.
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Caroline Jaubert
Alfred de Musset

Aimée d'Alton
Alfred de Musset

Louise Rosalie Allan-Despreaux

Louise Rosalie Allan-Despréaux ( à Mons - à Paris) est une actrice française.
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Anaïs Bosio

Angélique Félicité Anaïs Bosio, par son mariage marquise de La Carte, est une salonnière française née le à Paris et morte le à Pau.
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Louise Colet

Louise Colet, née Louise Révoil le à Aix-en-Provence et morte le à Paris 5e, est une poétesse et femme de lettres française.
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George Sand

George Sand [ʒɔʁʒ sɑ̃d], nom de plume d'Aurore Dupin, par son mariage baronne Dudevant, est une romancière, dramaturge, épistolière, critique littéraire et journaliste française, née le à Paris et morte le au château de Nohant-Vic. Elle compte parmi les écrivains les plus prolifiques, avec plus de 70 romans à son actif et 50 volumes d'œuvres diverses dont des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre et des textes politiques.
À l'image de son arrière-grand-mère, Louise Dupin, qu'elle admire, George Sand prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d'une société conservatrice.
George Sand a fait scandale par sa vie amoureuse agitée, par sa tenue vestimentaire masculine, dont elle a lancé la mode, par son pseudonyme masculin, qu'elle adopte dès , et dont elle lance aussi la mode : après elle, Marie d'Agoult signe ses écrits « Daniel Stern », Delphine de Girardin prend, en 1843, le nom de plume de « vicomte Charles de Launay ».
Malgré la misogynie de nombreux détracteurs comme Charles Baudelaire ou Jules Barbey d'Aurevilly, George Sand contribue activement à la vie intellectuelle de son époque, accueillant au domaine de Nohant ou à Palaiseau des personnalités aussi différentes que Franz Liszt, Frédéric Chopin, Marie d'Agoult, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Eugène Delacroix, Henri Chapu, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle a entretenu une importante correspondance avec Victor Hugo bien que ces deux grandes personnalités ne se soient jamais rencontrées.
Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de , inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, L'Éclaireur, plaidant auprès de Napoléon III la cause de condamnés, notamment celle de Victor Hugo dont elle admirait l'œuvre et dont elle a tenté d'obtenir la grâce après avoir éclipsé Notre-Dame de Paris avec Indiana, son premier roman.
Son œuvre est abondante et la campagne du Berry lui sert souvent de cadre. Ses premiers romans, comme Indiana (1832), bousculent les conventions sociales et magnifient la révolte des femmes en exposant les sentiments de ses contemporaines, chose exceptionnelle à l'époque et qui divisa aussi bien l'opinion publique que l'élite littéraire. Puis George Sand ouvre ses romans à la question sociale en défendant les ouvriers et les pauvres (Le Compagnon du Tour de France) et en imaginant une société sans classes et sans conflit (Mauprat, 1837 ; Le Meunier d'Angibault, 1845).
Elle se tourne ensuite vers le milieu paysan et écrit des romans champêtres idéalisés comme La Mare au diable (1846), François le Champi (1848), La Petite Fadette (1849), Les Maîtres sonneurs (1853).
George Sand a abordé d'autres genres comme l'autobiographie (Histoire de ma vie, 1855) et le roman historique avec Consuelo (1843) où elle brosse, à travers la figure d'une cantatrice italienne, le paysage artistique européen du XVIIIe siècle, ou encore Les Beaux Messieurs de Bois-Doré (1858) qui multiplie les péripéties amoureuses et aventureuses dans le contexte des oppositions religieuses sous le règne de Louis XIII. Vers la fin de sa vie, elle écrit une abondante œuvre théâtrale, restée largement inédite de son vivant.
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