Qui est sorti avec Françoise Babou de la Bourdaisière?
Henri III a daté Françoise Babou de la Bourdaisière du ? au ?.
Louis de Bérenger a daté Françoise Babou de la Bourdaisière du ? au ?.
Françoise Babou de la Bourdaisière

Françoise Babou de la Bourdaisière, née vers 1540 ou , et morte le à Issoire, est une aristocrate française.
Elle est la mère de Gabrielle d'Estrées.
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Henri III, né le à Fontainebleau et mort assassiné le à Saint-Cloud, est souverain de la nouvelle république des Deux Nations de 1573 à 1575 — sous les noms de Henryk Walezy, roi de Pologne, et de Henrikas Valua, grand-duc de Lituanie — et roi de France de 1574 à 1589. Il est le dernier monarque de la dynastie des Valois et le premier Capétien mort assassiné.
Quatrième fils du roi Henri II et de la reine Catherine de Médicis, Henri n'est pas destiné à la couronne. Sous le règne de son frère Charles IX, il s'illustre comme chef de l'armée royale en remportant sur les protestants les batailles de Jarnac et de Moncontour. À l'âge de 21 ans, il se porte candidat pour le trône de la nouvelle république des Deux Nations et est élu. Son règne est bref, puisqu'à l'annonce de la mort de son frère, sans descendant mâle, il abandonne son royaume pour lui succéder sur le trône de France.
En devenant roi de France, Henri III hérite d'un royaume divisé où son autorité n'est que partiellement reconnue. Son règne est marqué par d’importants problèmes religieux, politiques et économiques. Quatre guerres de Religion se déroulent sous son règne. Henri III doit faire face à des partis politiques et religieux soutenus par des puissances étrangères qui finissent par venir à bout de son autorité : le parti des Malcontents, le parti des protestants et, enfin, la Ligue catholique. Henri III meurt en 1589 à Saint-Cloud après avoir été poignardé par le dominicain Jacques Clément, qui voulait venger le chef de la ligue, le duc Henri Ier de Guise, assassiné sur ordre royal l'année précédente.
L'emblème d'Henri III est constitué de trois couronnes, symbolisant les royaumes de France et de Pologne ainsi qu'une devise qui explique la troisième couronne : « Manet ultima cælo » (« La dernière se trouve au ciel »).
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Louis de Bérenger

Louis de Bérenger, sieur du Guast (c. 1540– 31 October 1575) was a French noble and early favourite of king Henri III during the French Wars of Religion. Having fought in the latter Italian Wars under Marshal Brissac he achieved prominence in court in 1569, when he was subject to the attentions of the acclaimed poet Ronsard. The following year he was elevated to a gentleman of the chamber in the entourage of the King's brother. It was with the king's brother that he participated in the assassinations that prefigured the Massacre of Saint Bartholomew. In the civil war that followed he would command a company of infantry during the siege of La Rochelle, during which he received a severe wound to his arm in an assault.
With his patron Anjou's election as king of the Commonwealth, Du Guast travelled with his lord to the east. While in the country during Anjou's brief rule he found himself overshadowed by Bellegarde, Anjou's new closest favourite, finding himself forced to compete with Bellegarde for the position of Colonel-General of the infantry. News of the king's death in France, caused Anjou to flee the Commonwealth to take the 'more valuable' throne. Du Guast travelled back with him and spent time with the now king Henri III during his walks in Lyon. Du Guast was granted a large monetary gift from the king in early 1575 and superseded Philippe Strozzi as commander of the French guard. Du Guast at this point found himself frustrated with the king's sister Marguerite de Valois, who had rebuffed his advances. Resultingly he informed the king of her affair with the seigneur de Bussy, chief among the king's brothers' favourites. Henri instructed Du Guast to kill Bussy, and he arranged an attempt while Bussy was departing from the Louvre. Du Guast and twelve other men jumped on him, but Bussy was able to evade their attacks, swearing vengeance for the attempt. Du Guast was now tasked with ensuring that the king's brother did not escape court to set himself up with the rebels in the provinces as their leader. Du Guast recommended to the king locking Alençon in the Bastille but the king refused. After Alençon's escape the civil war began to look up for the king, with the Duke of Guise's victory at the Battle of Dormans. Du Guast warned the king of the risks of allowing the duke to overshadow his achievements, and persuaded the king to not seek peace and keep fighting for victory so he could surpass Guise in achievement. On 31 October 1575 Du Guast was assassinated in his home by a group of men led by Vitteaux, a client of Alençon's.
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